Fish and Chips comme à Londres
Un “Fish and Chips” comme à Londres ça vous dit? J’en ai mangé pour la première fois en mars 2018 lors de mon séjour dans la capitale anglaise et j’ai tout de suite adoré ce Finger Food. Outre son côté pratique, on peut le transporter partout, j’ai été séduite par la cuisson du poisson, une sorte de pâte à beignets légère qui se rapproche de la pâte à tempura.
Celle-ci consiste en une pâte à frire fluide classique, à base de farine, d’œuf et d’eau glacée, dans laquelle on trempe toutes sortes de produits :
- des tranches de poisson (à chair blanche) : filets de cabillaud, etc. ou petits poissons frais destinés à la friture.
- des fruits de mer : crevettes, huîtres, rondelles de seiche, poulpe, etc.
- des légumes coupés en tranches
Le secret d’une bonne tempura est la finesse de la pâte à frire qui doit être un peu plus fluide qu’une pâte à crêpes, et surtout maintenue froide sur un lit de glace ( pour ma part, je l’ai laissé reposer au frais 30 min au réfrigérateur ). Le bain de friture quant à lui, doit, au contraire, être à 180° C. Si vous n’avez pas de friteuse qui vous indique la température, utiliser une sonde. Ou bien on peut savoir que cette température a été atteinte en jetant une goutte de pâte à frire, laquelle doit plonger immédiatement et remonter à la surface très rapidement avec un grésillement caractéristique, sans pour autant noircir.
J’ai réalisé la pâte à tempura avec de l’eau gazeuse bien fraîche mais si vous voulez vraiment vous rapprocher de la recette originale, remplacez l’eau gazeuse par de la bière blonde. Vous verrez, le résultat est surprenant.
Pour cette recette, j’ai utilisé du cabillaud. Mais doit-on dire “morue ou cabillaud?” En fait les deux! Ces deux termes désignent finalement le même poisson. En gastronomie, la différence se fait dans le mode de conservation: frais ou surgelé, vous avez du cabillaud, séché et salé, c’est de la morue.
C’est un poisson pauvre en matière grasse, riche en protéine avec près de 23 grammes pour 100 grammes de poisson. Bourré d’antioxydants, le cabillaud renferme une source de sélénium primordial dans la lutte contre les radicaux libres. Il est une mine remarquable d’iode et de vitamine B12, nutriments indispensables à l’entretien des tissus osseux et à la croissance.
En tant qu’ambassadrice de la marque “Pescanova“, j’ai choisi de préparer cette recette avec leur cabillaud surgelé. Très pratique à avoir chez soi et le produit est d’excellente qualité.
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