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Camélia Jordana décorée : la chanteuse en profite pour régler ses comptes avec la France « vous êtes un pays de…

Camélia Jordana est une artiste aux multiples talents. Découverte en tant que chanteuse, c’est désormais au cinéma qu’elle s’épanouit depuis plusieurs années. Elle était d’ailleurs invitée sur TF1 pour faire la promotion de son dernier film Avant que les flammes ne s’éteignent.

Camélia Jordana explique le désamour à l’égard des policiers

Camélia Jordana est une personnalité publique engagée. Elle avait notamment tenu des propos forts en 2020 à l’encontre des policiers. Elle a profité de la promotion de son nouveau film pour revenir dessus. La teneur des paroles tenues avait suscité un véritable déferlement médiatique. Elle était alors invitée de Laurent Ruquier sur le plateau de On n’est pas couché. Elle avait chargé avec une grande véhémence l’ensemble de la corporation policière. « Il y a des hommes et des femmes qui se font massacrer quotidiennement en France, tous les jours, pour nulle autre raison que leur couleur de peau. Donc en fait, c’est l’une des raisons pour lesquelles les gens sont fâchés après la police ».

Camélia Jordana évoque un sentiment d’insécurité

L’actrice avait par ailleurs évoqué son sentiment personnel d’insécurité face à la police. « Il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie. Aujourd’hui j’ai les cheveux défrisés. Quand j’ai les cheveux frisés je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France. Vraiment ». Depuis cette prise de position qui avait fait grand bruit, la comédienne a mis un peu d’eau dans son vin. Alors qu’elle était l’invitée d’Audrey Crespo-Mara sur le plateau de TF1, elle est revenue sur cette polémique. « Je pense, qu’en effet, ce propos était maladroit. Il n’était pas précis et réfléchi. Il était très spontané, très authentique. Je suis du sud, donc pour moi se faire massacrer, si vous voulez, c’est au foot, par son boss au boulot… Évidemment, il n’était pas question de massacre. Il est question de violences ».

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