Pour Sandrine Pissarra, 54 ans, reconnue coupable de violences et d’actes de torture et de barbarie, le verdict est conforme au réquisitoire de l’avocat général, Jean-Marie Beney, qui avait estimé que pour cette mère de huit enfants, “tyran domestique, dictateur des intérieurs, bourreau d’Amandine“, il n’y avait pas d’autre peine possible.