“Ce que vous venez de faire…” : Patrick Cohen monte au créneau face à Sandrine Rousseau dans C à vous

Ce jeudi 13 juin, Sandrine Rousseau était reçue sur le plateau de C à Vous pour réagir à l’actualité politique. Au cours de l’interview, la députée a été réprimandée par Patrick Cohen qui ne cachait pas son agacement.

Patrick Cohen s’en prend à Sandrine Rousseau

Pas du genre à prendre des pincettes, Patrick Cohen fait souvent preuve d’une franchise déconcertante face aux invités de C à Vous. Ce jeudi, le journaliste en a une nouvelle fois fait la démonstration, alors que l’équipe recevait Sandrine Rousseau. La députée s’attaquait aux partis de droite quand Patrick Cohen l’a interrompue pour lui asséner une lourde critique.

“On pourrait exactement vous retourner l’accusation, vous, et un certain nombre de leaders de gauche”, lance le chroniqueur. Puis d’ajouter : “A force de répéter depuis des années que Macron et le RN, c’est la même chose, – ce que vous venez de faire – , les gens finissent par se dire : ‘bah, c’est pas si grave le RN’”.

Accusant Sandrine Rousseau de faire un amalgame dangereux, Patrick Cohen semblait particulièrement remonté contre cette dernière. “Vous avez diminué le danger représenté par le Rassemblement national à travers vos discours et ces discours là que vous venez de tenir !”, déclare le journaliste, réprobateur. Un sermon qui a d’abord déstabilisé la députée écologiste, avant qu’elle ne retrouve sa fougue habituelle.

Sandrine Rousseau invective Éric Ciotti en pleine rue

Ce mardi, Éric Ciotti annonçait sur TF1 son intention de créer une alliance entre Les Républicains et le Rassemblement national pour les législatives. Une décision qui a indigné bon nombre de représentants, notamment au sein de son parti. Chez les opposants, la colère était au rendez-vous, là aussi.

Quelques heures après l’annonce, alors qu’il répondait à la presse devant le siège LR, Éric Ciotti a été interpellé par Sandrine Rousseau. “Honte à vous Éric Ciotti !”, lui a crié cette dernière, apparue comme par magie à ses côtés. “Vous ne méritez pas le nom (Les Républicains donc, ndlr) qui est inscrit sur votre façade”.