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Pierre Perret ému par la mort d’un être cher : “T’avais pas le droit de te tirer”

 

Dans les lignes destinées à honorer cet homme engagé, Pierre Perret a poursuivi : « Pourtant, ‘Une gare’, ‘Ma mère’, ‘Toutes les femmes sont belles’ ou ‘Dupont’ (à laquelle tu as voulu que je participe !) ne sont-elles pas de bien grandes et belles chansons d’amour et de révolte ? ! L’ami Bernard Gérard avait tenu à en écrire les sublimes orchestrations. Le seul reproche que je m’étais permis : ‘Tu as arrêté bien trop tôt !' » Avec une grande tristesse, le saxophoniste a finalement conclu : « Tu vas occuper une grande place dans la mémoire de tous ceux qui t’aiment. Avant de signer Pierrot (c’est comme ça que tu m’appelais). » Durant des années, Pierre Perret et Henri Tachdjian de son vrai nom ont entretenu une belle amitié, et on observe de nombreuses similitudes du côté de leurs plumes respectives.

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