C à vous : tensions entre Patrick Cohen et Jordan Bardella, Anne-Elisabeth Lemoine s’en mêle

Alors que les élections européennes approchent à grands pas, Jordan Bardella a été invité par Anne-Elisabeth Lemoine sur le plateau de C à vous afin de parler du contrôle des frontières. De quoi énerver passablement Patrick Cohen. A seulement quelques jours des élections européennes, les tensions politiques au sein de l’opinion publique battent leur plein. Dans les médias, les politiciens multiplient les apparitions afin d’exposer leurs idéaux et ainsi, convaincre les électeurs de voter pour eux. Les débats s’enchaînent également comme on a pu le voir sur BFMTV avec Apolline Malherbe. Jordan Bardella a ainsi été invité par Anne-Elisabeth Lemoine sur le plateau de C à vous ce mardi 28 mai 2024 afin d’évoquer le sujet épineux du contrôle des frontières. Ce qui a causé une altercation tout à fait inattendue avec Patrick Cohen. Des contrôles stricts aux frontières selon Jordan Bardella Le point de vue de Jordan Bardella est bien simple. Le candidat du RN prône une maîtrise de l’immigration et un contrôle plus strict des frontières au niveau national. Ces contrôles ne peuvent pas toutefois être effectués de manière systématique. C’est la raison pour laquelle il pense à les faire aléatoirement. « C’est caricatural de dire qu’on va contrôler systématiquement, qu’on va mettre des douaniers par mètre » a-t-il déclaré. Ces propos n’ont toutefois pas du tout été du goût de Patrick Cohen. Pour ce dernier, les paroles de l’homme politique sont incohérentes. Cliquer sur lire la suite Patrick Cohen s’insurge Selon Patrick Cohen, Jordan Bardella manque donc de crédibilité dans son idée de renforcer les contrôles au niveau des frontières, mais de le faire de manière aléatoire et non systématique. Voilà pourquoi le chroniqueur lui a lancé : « ça a longtemps été le projet du Rassemblement National. Vous savez bien que cela a été l’un des slogans phares du RN toutes ces années sur les élections européennes : le rétablissement des contrôles aux frontières nationales. Pardon ! ».